Nous publions ici le démenti de notre collègue de Henri Hiro dont les propos ont été interprétés par la journaliste de la Dépêche de Tahiti de ce jour. Il n’a jamais été question de grève ou de débrayage le jeudi 24 mars. Les actes de violence doivent être considérés avec la plus grande attention, et c’est ce que nous avons pu exprimer auprès de la DGEE ces derniers jours.
Le bureau du SNES PF